L’île des Dieux, Bali porte bien son nom… 3 étapes pour les quelques jours passés sur l’île : Ubud, Amed et Sanur, en compagnie des grands-parents venus nous rejoindre pour de belles retrouvailles.
À peine arrivés à l’aéroport de Denpasar nous avons directement pris la direction d’Ubud, au centre de l’île, pour une semaine d’immersion dans la culture et l’art balinais. En effet, la ville est connue pour être le foyer de l’art balinais et le conservatoire des traditions de l’île. Nous logeons dans une jolie maison au style balinais entourée d’un magnifique jardin verdoyant et d’une très agréable piscine : MariGuesthouse, dans Jalan Bisma, proche du marché central et des rues commerçantes tout en étant légèrement en retrait de l’agitation, au calme. Très touristique, Ubud regorge de boutiques d’artisanat et de petites galeries d’art tenues par les nombreux artistes (peintres, sculpteurs, artisans) de la région. Toutefois, malgré le monde, Ubud reste une ville dans laquelle il est agréable de se balader et de se livrer à l’art du marchandage dans les nombreuses échoppes colorées du marché…bien que certains vendeurs soient parfois un peu insistants.
Ville d’artistes mais aussi entourée de superbes paysages de rizières, souvent en terrasses car la région est vallonnée. Tout est vert, c’est vraiment joli. Il y a de nombreuses balades à faire dans les environs, mais pas vraiment d’itinéraires proposés. Le mieux est encore de suivre son instinct et de se promener au grès de ses envies, en suivant des ruelles, en longeant des petits sentiers au milieu des rizières. C’est ce que nous avons fait. Le riz fait vivre la région, si ce n’est l’île! Il y a ici 3 moissons par année et nous avons pu observer les différents stades de maturation, des toutes jeunes pousses au vert tendre tout juste sorties de terre aux beaux épis de riz bruns attendant d’être cueillis.
À peine arrivés à l’aéroport de Denpasar nous avons directement pris la direction d’Ubud, au centre de l’île, pour une semaine d’immersion dans la culture et l’art balinais. En effet, la ville est connue pour être le foyer de l’art balinais et le conservatoire des traditions de l’île. Nous logeons dans une jolie maison au style balinais entourée d’un magnifique jardin verdoyant et d’une très agréable piscine : MariGuesthouse, dans Jalan Bisma, proche du marché central et des rues commerçantes tout en étant légèrement en retrait de l’agitation, au calme. Très touristique, Ubud regorge de boutiques d’artisanat et de petites galeries d’art tenues par les nombreux artistes (peintres, sculpteurs, artisans) de la région. Toutefois, malgré le monde, Ubud reste une ville dans laquelle il est agréable de se balader et de se livrer à l’art du marchandage dans les nombreuses échoppes colorées du marché…bien que certains vendeurs soient parfois un peu insistants.
Ville d’artistes mais aussi entourée de superbes paysages de rizières, souvent en terrasses car la région est vallonnée. Tout est vert, c’est vraiment joli. Il y a de nombreuses balades à faire dans les environs, mais pas vraiment d’itinéraires proposés. Le mieux est encore de suivre son instinct et de se promener au grès de ses envies, en suivant des ruelles, en longeant des petits sentiers au milieu des rizières. C’est ce que nous avons fait. Le riz fait vivre la région, si ce n’est l’île! Il y a ici 3 moissons par année et nous avons pu observer les différents stades de maturation, des toutes jeunes pousses au vert tendre tout juste sorties de terre aux beaux épis de riz bruns attendant d’être cueillis.
La Sacred Monkey Forest est aussi une belle balade (entrée payante, 20 000 Rps). Il s’agit d’un site sacré au milieu d’une belle forêt qui abrite plusieurs temples anciens et surtout, une colonie de singes fripons…les macaques (d’où le nom de la forêt). Les sentiers sont en grande partie dallés et sont très accessibles en poussette. Les singes, dont il faut tout de même se méfier, ne sont pas si agressifs mais pour être tranquilles, mieux vaut éviter de les nourrir, surtout avec les enfants. Nous avons pu voir des familles entières, avec plein de bébés, nous offrant parfois des scènes vraiment attendrissantes.
Les fêtes et les cérémonies sont vraiment nombreuses et occupent une place considérable à Bali. Nous le savions mais nous l’avons réellement découvert à Ubud. Partout dans la ville nous avons entendu le joli son du gamelan, senti l’odeur enivrante des bâtons d’encens et vu les Balinais en tenues traditionnelles, femmes à la coiffure impeccable piquée de fleurs de frangipaniers et hommes portant le sarong et le sash (une ceinture en tissu), un pétale de fleur à l’oreille. Lors de notre séjour, nous avons eu la chance de vivre le passage à la nouvelle année (1936), la fête du Nouvel an balinais, Nyepi .Une fête bien particulière d’ailleurs! La veille, c’est un défilé d’immenses monstres de papier mâché (sur des structures en bambou), tous plus effrayants les uns que les autres. Les gigantesques statues sont portées par des dizaines d’hommes de tout âge, même des petits garçons, à travers les rues jusqu’à tard dans la nuit, au son de la musique. Mais à minuit, plus aucun bruit et tout le monde rentre chez soi jusqu’au lendemain soir! Et oui! Car Nyepi est aussi la fête du silence : pendant toute une journée, il nous est interdit de sortir de la maison, pas de bruit, pas de lumière, pas d’activité. Tout est fermé, même l’aéroport! Heureusement que notre maison était confortable, nous avons tout de même pu, en silence, profiter de la piscine J. Pour la petite histoire, Nyepi est le jour durant lequel descendent les mauvais esprits sur Terre et seule l’absence de vie les fait repartir. À bon entendeur…
Dans un village à quelques km d’Ubud, à Batubulan, nous sommes allés assister à un spectacle de danses traditionnelles balinaises au temple Pura Puseh: le legong, interprété par de gracieuses danseuses magnifiquement coiffées et maquillées, vêtues de tenues colorées…de la délicatesse jusqu’au bout des doigts; et le barong, histoire dansée de reine, de sorcière et d’animal fantastique au rythme du gamelan de bambou et d’autre gong. En fait, ce sont les habitants du village qui, durant le temps du spectacle, enfilent costumes et masques ou jouent de la musique.Très chouet, 1h30 de spectacle qui n’a lassé ni effrayé personne! Le cadre en plus est sompteux J.